Non Monsieur ,le Maroc n’est pas raciste.

Posté par abc10 le 12 mars 2019

Monsieur Jacky Michel
Le Royaume du Maroc ,se veut un Etat musulman , l’Islam Vrai ,comme le Judaïsme d’ailleurs, interdit toute forme de racisme :
 » Ô humains ,nous vous avons créé d’un mâle et d’une femelle ,et nous avons fait de vous des peuples et des tribus ,pour que vous fassiez connaissance entre vous , les plus proches de Dieu d’entre vous sont ceux qui le craignent.. »
dit un verset du Saint Coran.
un Hadith du prophète dit :
 » il n’y a pas de supériorité d’un arabe sur un non arabe , ou d’un blanc sur un noir ,sauf par la piété  »
tous les migrans qui rentrent au Maroc ,y trouvent refuge,accueil et bienfaisance dans la limite de nos moyens ,Sa Majesté le roi a donné ses dérectives pour faciliter l’octroi de carte de séjour aux migrants ,et déjà des milliers de nos frères africains l’ont obtenu..

Vous voulez comparer le Maroc au 1300 ans d’Histoire à L’Entité sioniste raciste au 70 ans d’histoire,faite de nettoyages ethniques ,de crimes de guerre,et de crimes contre l’Humanité..?

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Le siècle d’Israël…

Posté par abc10 le 12 mars 2019

Israël est un Etat raciste ,c’est pas moi qui le dit c’est la résolution des Nation Unies ,votée le 10 novembre 1972 y compris par les américains ,Israël est un Etat voyou ,il n’a pas respecté les 77 résolutions de l’ONU dans une impunité totale à cause des lobbys ,l’Irak a été détruit à cause d’une seule résolution non respectée, mais tout a une fin y compris le sentiment de puissance ,c’est votre siècle profitez bien ,dure sera la chute..

Comment est-ce possible ? un peuple , lui -même victime de tant de cruautés ,peut-il devenir tellement cruel…? heureusement qu’il y a des Justes parmi ce peuple ,ce qui prouve qu’il ne faut pas jeter l’anathème sur tout le peuple juif..car le sionisme exacerbe l’Antisémitisme.

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Notre pays aurait pu devenir « le phare de l’Afrique ».

Posté par abc10 le 6 mars 2019

les fraises marocaines grosses comme le poing ,gorgées de soleil et tellement délicieuses 1euro le Kilo ..Notre pays aurait pu être ce pays de profusion et d’abondance où les citoyens seraient heureux si le pays n’était pas gongréné par cette économie informelle (Arri3) accaparée par cette minorité qui usent et abusent..La santé publique est dans un piteux état.

Les hommes politiques sont dans leur majorité des corrompus ,nos concitoyens sont livrés à eux-même ,sans perspectives , pourtant avec une volonté politique déterminante et détérminée du Chef de l’Etat pour déconstruire et rebâtir ,le chef de l’Etat qui est chez nous le Commandeur des croyants ,doit donner l’exemple dans l’abnégation et le don de soi et donner une partie de sa forture en Zakat pour la Patrie ,pour la construction des hôpitaux et des écoles dignes ..

Dans le court terme , si rien n’est fait ,il perdra , lui aussi , le Capital de sympathie dont il jouït jusqu’à présent , et on retombera inéluctablement dans le cercle vicieux revendications ,repressions :Cette spécialité du Makhzen..et la monarchie marocaine revêtira ,comme pendant les années noires de Hassan 2,les habits de la tyrannie..

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Ce que le renouveau et la Renaissance Juive doit à l’Islam par David J.Wasserstein

Posté par abc10 le 2 mars 2019

la tribu juive sioniste colonisant la Palestine et sa cohorte d’agents chrétiens sionistes surtout américains tirent les ficelles dans les coulisses des attaques ciblant l’Islam et les Musulmans dans les pays occidentaux il est utile de rappeler que sans l’Islam le Judaïsme et les Juifs auraient tout simplement disparu. Un article du site du Jewish Chronicle l’explique en détails. Ci-dessous sa traduction.
L’Islam A Sauvé Le Judaïsme

Qu’ont donc fait les Musulmans pour les Juifs ? David J. Wasserstein – 24/05/2012

L’Islam a sauvé le Judaïsme. C’est une affirmation impopulaire et dérangeante dans le monde moderne. Mais c’est une vérité historique. L’explication de cela est double. D’abord en 750 Après JC lors de la naissance du prophète Mohammad les Juifs et le Judaïsme étaient en voix d’extinction. Et ensuite l’arrivée de l’Islam les a sauvés leur offrant un nouvel environnement dans lequel non seulement ils ont survécu mais se sont épanouis établissant les fondations d’une prospérité culturelle juive à venir- ainsi que dans le monde chrétien – passant du monde médiéval au monde moderne.

Dés le 4ème siècle le Christianisme était devenu la religion dominante dans l’Empire Romain. L’un des aspects de ce succès s’était l’opposition aux autres religions dont le Judaïsme en même temps que la pratique des conversions des membres de ces religions parfois par la force au Christianisme. La plupart des témoignages dont nous disposons sur l’existence juive dans l’Empire Romain de cette époque sont constitués de témoignages de conversions.

D’importantes et permanentes réductions du nombre de Juifs par le biais de conversions entre le IVème et le VIIème siècle ont contribué à l’extinction du statut des droits de l’existence sociale et économique et de la vie religieuse et culturelle des Juifs partout dans l’empire romain.

D’importantes séries de lois ont privé les Juifs de leurs droits comme citoyens les ont empêché de respecter leurs obligations religieuses et les ont exclu da la société de leurs semblables.

Ceci s’est passé lors des siècles d’affrontements militaire et politique avec la Perse. Comme minuscule élément du monde chrétien, les Juifs n’auraient pas du être très touchés par ce vaste problème politique. Pourtant cela les a touché très sévèrement car l’Empire Perse à l’époque incluait Babylone – actuellement l’Irak- hébergeant la plus grande communauté juive du monde.

C’est là aussi que se trouvaient les plus grands centres de la vie intellectuelle juive. L’unique plus important ouvrage de créativité juive culturelle en plus de 3000 ans mis à part la Bible elle-même – le Talmud- est né à Babylone. Le combat entre la Perse et Byzance à cette époque a conduit à une séparation de plus en plus nette entre les Juifs vivant sous domination byzantine et la loi chrétienne et ceux vivant sous domination perse.

Mis à part cela les Juifs qui vivaient sous domination chrétienne semblent avoir perdu la connaissance de leurs propres langues culturelles spécifiques – l’Hébreu et l’Araméen – au profit du Latin et du Grec utilisés comme langues locales non juives. Par conséquent ceci implique qu’ils n’avaient plus non plus accès aux œuvres littéraires principales de la culture juive – la Torah, la Mishna les poèmes midrashiques et même la liturgie.

La perte de la force unificatrice que constituait la langue – et la littérature qui lui était associée – était une étape majeure vers l’assimilation et la disparition. Dans ces circonstances, alors que les contacts avec le seul endroit où la vie culturelle juive continuait de prospérer – Babylone – à cause du conflit avec la Perse disparaissaient la vie juive dans le monde chrétien de la fin de l’Antiquité n’était pas seulement un pâle reflet de ce qu’elle avait été 3 ou 4 siècles avant.

Elle était condamnée.

Si l’Islam n’était pas survenu le conflit avec la Perse aurait continué. La séparation entre le Judaïsme occidental celui du monde chrétien et celui de Mésopotamie se serait intensifié. Le Judaïsme à L’Ouest aurait décliné jusqu’à disparaître dans certains endroits. Et le Judaïsme à l’Est serait devenu juste un autre culte oriental.

Mais tout ceci a été empêché par l’arrivée de l’Islam. Les conquêtes islamiques du VIIème siècle ont changé le monde et l’ont fait avec des effets décisifs de grande envergure et permanents pour les Juifs.

En l’espace d’un siècle depuis la mort de Mohammad en 632 les armées musulmanes ont conquis presque tout les parties du monde où les Juifs vivaient de l’Espagne vers l’Est à travers l’Afrique du Nord et le Moyen Orient aussi loin que la frontière Est de l’Iran et au-delà. Pratiquement tous les Juifs du monde étaient sous gouvernance de l’Islam. Cette nouvelle situation a transformé la vie juive. Leur sort a changé en terme léga, démographique social, religieux, politique, géographique, économique, linguistique, et culturel – tout cela pour le meilleur.

Le changement politique s’est fait parallèlement au statut légal de la population juive : bien que ce ne soit pas toujours évident de déterminer ce qui s’est passé lors des conquêtes musulmanes une chose est sûre le résultat de la conquête c’était principalement de faire des Juifs des citoyens de deuxième classe.

Ceci ne doit pas être mal interprété : être un citoyen de deuxième classe était une bien meilleure chose que de ne pas être du tout considéré comme citoyen. Pour la plupart des Juifs la citoyenneté représentait un progrès majeur. Dans l’Espagne visigothe par exemple peut avant la conquête musulmane en 711 les enfants des Juifs leur avaient été retirés et convertis par la force au Christianisme et eux-mêmes avaient été réduits en esclavage.

Dans les sociétés islamiques en développement pendant les périodes classiques et médiévales être Juif cela impliquait d’appartenir à une catégorie définie par la loi avoir certains droits et certaines protections parallèlement à différentes obligations.

Ces droits et obligations n’étaient pas si étendues ni si généreuses que ceux dont bénéficiaient les musulmans et les obligations étaient plus importantes mais pour ces quelques premiers siècles les Musulmans eux -mêmes étaient une minorité et pratiquement les différences n’étaient pas si grandes.

A côté de cette quasi égalité légale il y a eu celle sociale et économique. Les Juifs n’étaient pas confinés dans des ghettos ni littéralement parlant ni en terme d’activité économique. Les sociétés de l’Islam étaient en fait des sociétés ouvertes. En termes religieux aussi les Juifs ont bénéficié d’une liberté quasi-totale. Ils n’ont pas construit beaucoup de synagogues – en théorie- et ils ne montraient pas trop en public leur foi mais il n’y avait pas de restriction réelle dans la pratique de leur religion. En même temps que l’autonomie légale ils bénéficiaient d’une représentation formelle via des dirigeants de leur choix devant les autorités de l’état. Aussi imparfait et pas si rose que cela c’était au moins la norme en vigueur.

L’unité politique apporté par le nouvel Empire Mondial Islamique n’a pas duré mais il a crée une vaste civilisation mondiale islamique identique à la civilisation chrétienne qu’il a remplacée. Au sein de cette immense zone les Juifs ont vécu et largement bénéficié de statuts et droits identiques partout. Ils pouvaient se déplacer maintenir des contacts et développer leur identité de Juifs. Une nouvelle vaste expansion commerciale à partir du IXème siècle a favorisé les contacts entre les Juifs espagnols – comme les Musulmans – avec les Juifs et Musulmans même ceux de l’Inde.

Tout ceci a été encouragé par un développement encore plus crucial. Un grand nombre de personnes dans le nouveau monde musulman ont adopté la langue des Arabes musulmans. L’Arabe est devenu progressivement la langue principale de cette vaste zone excluant pratiquement les autres. Le Grec et le Syriaque l’Araméen et le Copte et le Latin toutes se sont éteintes remplacées par l’Arabe. Le Perse lui-même a régressé pour réapparaître plus tard largement influencé par l’Arabe.

Les Juifs ont adopté l’Arabe très rapidement. Au début du Xème siècle seulement 300 ans après les conquêtes, Sa’adya Gaon, a traduit la Bible en Arabe. La traduction de la Bible est un vaste chantier qui n’est entrepris que s’il y en a besoin. Aux environs de l’an 900 les Juifs avaient largement abandonné d’autres langues et utilisaient l’Arabe.

Le changement de langue a à son tour mis les Juifs en contact avec des développements culturels plus vastes. A partir du Xème siècle le résultat cela a été une coopération culturelle étonnante. Les juifs du monde musulman ont développé une culture entièrement nouvelle différente de celle d’avant l’Islam en terme de langage de formes culturelles d’influences et de pratiques. Au lieu d’être essentiellement préoccupés par la religion la nouvelle culture juive du monde islamique comme celle de ses voisins mélangeait le religieux et le séculier à des niveaux très élevés. Le contraste à la fois avec le passé et l’Europe médiévale chrétienne était énorme.

Comme leurs voisins ces Juifs écrivaient en Arabe pour partie et dans une forme judéo arabe aussi. L’utilisation de l’Arabe les a rapprochés des Arabes. Mais l’utilisation d’une forme spécifique judéo arabe a maintenu une séparation entre Juifs et Musulmans. Les sujets sur lesquels écrivaient les Juifs étaient pour l’essentiel nouveaux de même que les formes employées empruntées aux Musulmans et développées en tandem avec l’essor de l’Islam arabe.

De même à cette époque là l’Hébreu a été réactivé comme langue littéraire de haut niveau en parallèle avec l’utilisation chez les Musulmans d’un Arabe de haut niveau à des fins identiques. En même temps que son utilisation en poésie et prose artistique l’écriture séculière sous toutes ses formes en Hébreu et en Judéo Arabe s’est développée parfois de haute qualité.

La plupart des meilleures poésies en Hébreu écrites depuis la Bible viennent de cette période. Sa’adya Gaon, Solomon Ibn Gabirol, Ibn Ezra (Moses and Abraham), Maimonides, Yehuda Halevi, Yehudah al-Harizi, Samuel ha-Nagid, et bien d’autres encore tous ces noms bien connus de nos jours appartiennent au meilleur de la littérature et œuvre culturelle juive.

Où tous ces Juifs ont-ils produit tout ceci ? Quand eux et leurs voisins sont-ils parvenus à ce mode symbiotique du vivre ensemble ? Les Juifs l’ont fait dans un certain nombre de centres d’excellence. Le plus connu de tous est l’Espagne islamique où il y eu un authentique Age d’Or juif parallèlement à une vague d’épanouissement culturel parmi la population musulmane.

L’exemple espagnol montre un modèle plus général de ce qui s’est passé aussi dans l’Espagne islamique – des vagues de prospérité culturelle juive en parallèle avec des vagues de prospérité culturelle parmi les Musulmans – typique d’un modèle étendu dans l’Islam arabe. A Bagdad, entre le Xème et le XIIème siècle, au Qayrawan (en Afrique du Nord) entre le IXème et le XIème siècles, au Caire entre le Xème et le XIIème siècles et ailleurs l’épanouissement puis le déclin des centres culturels de l’Islam à eu tendance à se refléter dans l’épanouissement et le déclin de l’activité juive culturelle aux mêmes endroits.

Cela n’était pas une coïncidence et ce n’était pas non plus la résultante d’un patronage libéral éclairé des dirigeants musulmans. C’était la conséquence d’un certain nombre de traits de ces sociétés plus profonds ,social et culturel, légal et économique, linguistique et politique, qui ensemble ont permis et effectivement encouragé les Juifs du monde islamique à créer une nouvelle sub culture au sein de la haute civilisation de l’époque.

Cela n’a pas duré éternellement la période de symbiose culturelle réussie entre Juifs et Musulmans arabes au moyen Age s’est achevée aux environs de l’an 1300. En réalité elle avait atteint ce point déjà plus tôt avec le déclin relatif général de l’importance et de la vitalité de la culture arabe à la fois en lien avec les cultures européennes occidentales et en lien avec d’autres formes de cultures au sein de l’Islam même perse et turc.

La prospérité culturelle juive au Moyen Age a fonctionné pour une grande part au sein de la prospérité culturelle arabo musulmane (et jusqu’à un certain point de la prospérité politique) Quand la culture arabo musulmane était en plein épanouissement il en allait de même de celle des Juifs quand la culture arabo musulmane a décliné celle des Juifs aussi.

Dans le cas des Juifs cependant le capital culturel ainsi créé a aussi servi comme terreau pour un développement ailleurs – dans l’Espagne chrétienne et plus généralement dans le monde chrétien.

Le monde islamique n’a certainement pas été la seule source d’inspiration pour la renaissance culturelle juive qui s’est produite plus tard dans l’Europe chrétienne mais il a certainement contribué majoritairement à ce développement. On ne peut pas sous estimer sa signification.

http://www.planetenonviolence.org

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Contre la criminalisation de l’antisionisme

Posté par abc10 le 2 mars 2019

Contre la criminalisation de l’antisionisme

Voici la pétition sous forme de lettre adressée au Président de la République française, que le quotidien
« Libération » vient de rendre publique.
Je la soutiens et la signe.

Monsieur le Président, vous avez récemment déclaré votre intention de criminaliser l’antisionisme. Vous avez fait cette déclaration après en avoir discuté au téléphone avec Benyamin Netanyahu, juste avant de vous rendre au dîner du Crif.

Monsieur le Président, vous n’êtes pas sans savoir que la Constitution de la République énonce en son article 4 que « la loi garantit les expressions pluralistes des opinions ». Or, l’antisionisme est une opinion, un courant de pensée né parmi les juifs européens au moment où le nationalisme juif prenait son essor. Il s’oppose à l’idéologie sioniste qui préconisait (et préconise toujours) l’installation des juifs du monde en Palestine, aujourd’hui Israël. L’argument essentiel de l’antisionisme était (et est toujours) que la Palestine n’a jamais été une terre vide d’habitants qu’un « peuple sans terre » serait libre de coloniser du fait de la promesse divine qui lui en aurait été donnée, mais un pays peuplé par des habitants bien réels pour lesquels le sionisme allait bientôt être synonyme d’exode, de spoliation et de négation de tous leurs droits. Les antisionistes étaient, et sont toujours, des anticolonialistes. Leur interdire de s’exprimer en prenant prétexte du fait que des racistes se servent de cette appellation pour camoufler leur antisémitisme est absurde.

Monsieur le Président, nous tenons à ce que les Français juifs puissent rester en France, qu’ils s’y sentent en sécurité, et que leur liberté d’expression et de pensée y soit respectée dans sa pluralité. L’ignominie des actes antisémites qui se multiplient ravive le traumatisme et l’effroi de la violence inouïe dont leurs parents ont eu à souffrir de la part d’un État français et d’une société française qui ont largement collaboré avec leurs bourreaux. Nous attendons donc de vous que vous déployiez d’importants moyens d’éducation, et que les auteurs de ces actes soient sévèrement punis. Mais nous ne voulons certainement pas que vous livriez les juifs de France et leur mémoire à l’extrême droite israélienne, comme vous le faites en affichant ostensiblement votre proximité avec le sinistre « Bibi » et ses amis français.

C’est pourquoi nous tenons à vous faire savoir que nous sommes antisionistes, ou que certains de nos meilleurs amis se déclarent comme tels. Nous éprouvons du respect et de l’admiration pour ces militants des droits humains et du droit international qui, en France, en Israël et partout dans le monde, luttent courageusement et dénoncent les exactions intolérables que les sionistes les plus acharnés font subir aux Palestiniens. Beaucoup de ces militants se disent antisionistes car le sionisme a prouvé que lorsque sa logique colonisatrice est poussée à l’extrême, comme c’est le cas aujourd’hui, il n’est bon ni pour les juifs du monde, ni pour les Israéliens, ni pour les Palestiniens.

Monsieur le Président, nous sommes des citoyens français respectueux des lois de la République, mais si vous faites adopter une loi contre l’antisionisme, ou si vous adoptez officiellement une définition erronée de l’antisionisme qui permettrait de légiférer contre lui, sachez que nous enfreindrons cette loi inique par nos propos, par nos écrits, par nos œuvres artistiques et par nos actes de solidarité. Et si vous tenez à nous poursuivre, à nous faire taire, ou même à nous embastiller pour cela, eh bien, vous pourrez venir nous chercher.

Premiers signataires :
Gilbert Achcar universitaire
Gil Anidjar professeur
Ariella Azoulay universitaire
Taysir Batniji artiste plasticien
Sophie Bessis historienne
JeanJacques Birgé compositeur
Simone Bitton cinéaste
Laurent Bloch informaticien
Rony Brauman médecin
François Burgat politologue
Jean-Louis Comolli cinéaste
Sonia Dayan Herzbrun sociologue
Ivar Ekeland universitaire
Mireille Fanon-Mendès France experte ONU
Naomi Fink professeure agrégée d’hébreu
Jean-Michel Frodon critique et enseignant
JeanLuc Godard cinéaste
Alain Gresh journaliste
Eric Hazan éditeur
Christiane Hessel militante et veuve de Stéphane Hessel
Nancy Huston écrivaine
Abdellatif Laâbi écrivain
Farouk Mardam-Bey éditeur
Gustave Massiah économiste
Anne-Marie Miéville cinéaste
Marie-José Mondzain philosophe
Ernest PignonErnest artiste plasticien
Elias Sanbar écrivain, diplomate
Michèle Sibony enseignante retraitée
Eyal Sivan cinéaste
Elia Suleiman cinéaste
Françoise Vergès politologue

Liste complète des signataires disponible sur https://bit.ly/2BTE43k

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