Quel avenir géopolitique pour le Maroc dans ce nouvel ordre mondial qui se dessine ?

Caen ,le 26 juin 2025 , 20h20

Quel avenir géopolitique pour le Maroc dans ce nouvel ordre mondial multipolaire qui se dessine ?

Le Genocide de Gaza après le 7 octobre, a non seulement fait un nombre de victimes considérable :400.000 morts selon une récente publication de Harvard Dataverse basée sur une cartographie spatiale minutieuse de l’armée israélienne ,le Genocide de Gaza a aussi crée une fracture morale et politique entre l’Occident et le Sud Global et profondément divisé les peuples et leurs dirigeants européens et ceci malgré le  mainmedia tout acquis à la propagande israélienne.

L’attitude des pays arabes comme le Maroc ou l’Arabie Saoudite, ne parlons pas de l’Egypte du dictateur pushiste Sissi ,l’Agent fidèle du Mossad et le laquais servile d’Israel : Le silence et la passivité face au Genocide en cours à Gaza ont alimenté un mécontentement et une indignation profonde populaire et une exaspération du fossé entre l’élite dirigeante et les peuples, tous acquis à la cause palestinienne, considérée, comme au Maroc , comme une constante de la Nation , au même titre que le Sahara occidentale marocain ( la contribution de L’Empire du Maroc au temps de la dynastie Almohade à la libération de Jérusalem par Saladdin des mains des croisées était décisive ), il y a toujours dans la vieille ville de Jérusalem un quartier marocain et une Porte qui s’appelle La Porte des marocains )c’est dire le lien historique et affectif des marocains avec La Palestine , et le fossé crée par les accord d’Abraham entre le peuple et Le Makhzen , de plus en plus impopulaire: L’opinion publique marocaine n’admet pas cette normalisation des relations diplomatique avec Israël même si c’est pour des raisons stratégiques  de Realpolitik , la stabilité politique tant vantée du Maroc pourrait être mise à mal à moyen terme , surtout que la crise économique persistante a engendré une paupérisation et une misère qui touche désormais  aussi bien la classe moyenne, cette classe tampon et facteur de stabilité.

Mais il faut nuancer : le Maroc , en signant les Accords d’Abraham poursuit une stratégie prudente d’évitement d’un embrasement régional , un calcule dicté par la Realpolitik ,aussi cynique soit-elle ,je pense ,  plus que par une simple trahison des valeurs de la Oumma .., comme pour l’Egypte ,les Émirats ou les autres petro-monarchies du Golfe .

Sur le plan diplomatique,le Maroc joue traditionnellement un rôle de médiateur et de modérateur,mais cette posture est mise à l’épreuve dans un contexte où il s’est enfoncé, tête baissée,mains et pieds liés, dans une collaboration tout azimuts avec Israël et ceci bien avant les Accords d’Abraham et une coopération dans différents domaines ,militaire bien sûr,mais aussi bien dans l’économie où l’agriculture :une coopération qui ne sert pas toujours les intérêts du Maroc , mais qui a profite essentiellement aux entreprises agro-alimentaires israéliennes avec des consequences néfastes :assèchement des nappes phréatiques,à cause de cultures comme l’avocat qui dilapident des millions de mètres cubes d’eau par an , des cultures destinées à l’exportation ce qui représente une menace stratégique pour la sécurité alimentaire et l’autosuffisance nationale , le peuple est impacté et souffre de la cherté de la vie qui ne touche pas uniquement les classes démunis mais l’ensemble du peuple .

Sur le plan stratégique , le Maroc pourrait bénéficier du basculement vers un monde multipolaire pour affirmer une position de leadership régional,notamment en Afrique ,mais cela suppose une réévaluation courageuse des alliances, notamment si celle-ci apparaissent de plus en plus en décalage avec les attentes populaires car le rang géopolitique et historique du Royaume du Maroc ne saurait être comparé aux autres signataires des Accords Abraham comme la Jordanie , les Émirats ou Le Bahrein .

La guerre Iran/Israel a créé une recomposition brutale au Moyen-Orient et en Afrique du Nord et dans le monde : effondrement du mythe de l’invincibilité d’Israel ,montée de la Chine comme une superpuissance économique et militaire incontestable, La Russie de Monsieur Poutine qui défie l’Occident malgré toutes les sanctions et qui a contenu l’OTAN en Ukraine ,reprend son rang de grande puissance ,membre permanent du Conseil de sécurité,ainsi que l’émergence de l’Iran comme puissance régionale au moyen-Orient( le nucléaire iranien etait en fait juste un prétexte de guerre de Natanyahou, le véritable enjeux pour Israël ,c’est de mettre fin au prétentions de l’Iran comme puissance régionale ce qui remet en cause la domination d’Israel sur tout le Moyen-Orient et le mythe de la superpuissance invincible.
L’Iran a consolidé son rôle de membre important des BRICS .
Le monde unipolaire issu de la Chute du Mur, et La victoire définitive de l’Occident prophétisée par Fokoyama dans  » la Fin de l’histoire  » n’était qu’une euphorie chimérique du capitalisme :un nouvel ordre multipolaire se dessine à l’horizon :

Le Maroc ,comme beaucoup d’Etats ,devra choisir entre continuer une ligne d’alignement ,comme un État vassal de la puissance traditionnelle Américaine  ou saisir l’occasion pour jouer une carte souveraine dans un monde multipolaire.

Une prise de position du Maroc dans ce nouvel ordre mondial est nécessaire, ce qui fait écho à un débat de fond qui agite le pays depuis les Accords d’Abraham , mais il faut donner du temps au temps , en tout cas , attendre une issue favorable définitive du différend avec le voisin algérien sur le Sahara occidental marocain,c’est sur une bonne voie puisqu’une majorité de pays ,dont deux membre permanent du conseil de sécurité,soutiennent là position marocaine d’Auronomie des provinces du Sud sous souveraineté marocaine .

Zine Al Abidine BENSRHIR.

De quoi Israël est-elle le Nom ?

Texte que j’ai trouvé dans le Reseaux social Facebook qui dissèque de façon exhaustive la nature d’Israel , de son regime,de sa « démocratie  » , de son règne..

Un texte très juste que j’ai lu sur internet, je le partage avec vous.

Il existe, dans l’architecture géopolitique contemporaine, une singularité troublante qui défie les catégories habituelles de l’analyse politique : Israël. Non pas l’Israël des aspirations originelles, mais cette entité politique qui s’est progressivement constituée en marge des normes qui régissent la communauté des nations, construisant son identité sur une exception permanente.

Car c’est bien de cela qu’il s’agit : d’un État qui s’est méthodiquement placé au-dessus des lois internationales, non par accident ou négligence, mais par calcul stratégique. Cette position d’exterritorialité juridique s’accompagne d’un phénomène plus troublant encore : la complaisance, voire la complicité active, d’une communauté internationale qui a choisi de détourner le regard. Comme si la culpabilité historique de l’Occident envers le peuple juif avait créé une zone d’impunité morale où les règles communes cessent de s’appliquer.

Cette architecture de l’exception se nourrit d’une inversion constante des principes humanitaires. Là où d’autres nations voient leurs actions scrutées, pesées, sanctionnées, Israël a réussi à transformer ses transgressions en autant de légitimations de sa politique sécuritaire. Les droits humains deviennent ainsi un instrument à géométrie variable : sacrés lorsqu’ils concernent les citoyens israéliens, négociables ou piétinables lorsqu’ils touchent les populations palestiniennes.

Plus troublant encore, cet État semble ne connaître d’autre langage que celui de la force. Non pas la force comme ultime recours d’une diplomatie épuisée, mais la violence comme mode privilégié de communication politique. Cette culture du feu, érigée en doctrine, révèle une conception particulièrement brutale des relations internationales où le rapport de force supplante systématiquement le droit.

L’hypocrisie atteint son paroxysme dans cette capacité remarquable à interdire aux autres ce que l’on s’autorise sans vergogne. Dénonciation des programmes nucléaires régionaux tout en développant son propre arsenal atomique, condamnation du « terrorisme » tout en pratiquant l’assassinat ciblé, exigence de reconnaissance tout en refusant l’existence politique de l’autre : cette double morale constitue l’ADN même de la politique israélienne contemporaine.

Mais c’est peut-être dans l’art du mensonge et de la propagande que cette singularité atteint son raffinement le plus achevé. La machine médiatique israélienne, remarquablement efficace, a réussi à imposer ses narratifs bien au-delà de ses frontières, transformant agresseurs en victimes, occupants en résistants, violations du droit international en actes d’autodéfense. Cette inversion sémantique systématique révèle une maîtrise consommée de la guerre informationnelle qui dépasse largement les capacités de la plupart des États contemporains.

Et c’est ici que la contradiction devient la plus saisissante : cette entité politique, qui bafoue méthodiquement les principes démocratiques fondamentaux – respect des minorités, égalité devant la loi, reconnaissance des droits de l’opposition -, continue de revendiquer l’étiquette démocratique avec une assurance confondante. Ce détournement lexical révèle plus qu’une simple manipulation : il témoigne d’une dérive autoritaire qui emprunte les oripeaux de la démocratie pour mieux la vider de sa substance.

Car derrière la façade d’institutions parlementaires et d’élections régulières se dessine un système politique qui présente tous les traits du fascisme contemporain : culte de la force, déshumanisation de l’adversaire, instrumentalisation de la peur, militarisation de la société civile, restriction progressive des libertés publiques. Un fascisme d’autant plus inquiétant qu’il se drape dans les habits de la modernité démocratique et bénéficie de la protection inconditionnelle des puissances occidentales.

Cette anomalie israélienne interroge fondamentalement notre époque. Elle révèle les failles béantes d’un ordre international qui se révèle incapable de faire respecter ses propres principes dès lors que les rapports de force s’en mêlent. Elle démontre surtout que la démocratie, lorsqu’elle perd ses garde-fous moraux et juridiques, peut devenir le masque le plus efficace de la tyrannie moderne.

L’heure n’est plus aux euphémismes diplomatiques ni aux accommodements complaisants. Il s’agit de nommer les choses par leur nom et de reconnaître que ce qui se joue au Proche-Orient dépasse largement la question palestinienne : c’est l’avenir même de l’ordre juridique international qui se trouve en jeu.

Une lecture dans la guerre Iran/Israel par le journaliste marocain Taoufik Bouaachrine

Article pertinent sur la guerre au Moyen-Orient , du journaliste marocain Taoufiq Bouaachrine
traduit de l’arabe :

D’après les informations et les images en provenance des champs de bataille en cours au Moyen-Orient, il semble que l’Iran ait absorbé le choc de la frappe surprise israélienne, et qu’elle soit passée de la défense à l’attaque avec des missiles à haute capacité de destruction et une précision surprenante.

C’est la première fois que le monde voit des missiles tomber au cœur de Tel-Aviv, tuant civils et militaires, et faisant des centaines de blessés parmi des Juifs dont les parents ou grands-parents sont venus en Palestine parce que les dirigeants du projet sioniste leur avaient promis une terre sûre, mettant fin à la souffrance des Juifs dans le monde…

Ce matin, Trump déclare que la guerre doit cesser, alors qu’il avait tenu un tout autre discours il y a à peine 48 heures, qualifiant l’attaque israélienne contre l’Iran d’“action remarquable”…

Cette volte face de la position américaine signifie d’abord que l’évolution de la guerre ne va pas dans le sens voulu par Israël et que la théorie de la guerre éclair, grâce auquel Netanyahu pensait pouvoir paralyser les capacités iraniennes et réduire les chances de riposte, tout en provoquant une révolte populaire contre le régime, s’est révélée totalement fausse.

L’Iran est encore capable de riposter aux agressions israéliennes, et l’idée de provoquer un soulèvement du peuple iranien contre son régime à coups de F-35 bombardant les quartiers civils la nuit est tout simplement ridicule…

Deuxièmement, les déclarations de Trump indiquent que les États-Unis ne souhaitent pas entrer directement dans la guerre, même si leur engagement est bien présent à travers la fourniture d’armements et dans le renseignement .

Aujourd’hui, le baril de pétrole a augmenté de plus de sept dollars, ce qui annonce une vague d’inflation et de hausse des prix. Et cela, alors que l’Iran a encore d’autres cartes à jouer, notamment en mer, et plus précisément dans le détroit d’Hormuz, artère vitale du flux de pétrole et de carburants vers toutes les régions du globe…
Que se passerait-il si Téhéran fermait ce passage ?

Incontestablement,il y aura un avant et un après à cette guerre.

Et déja, de nouveaux équilibres de forces , de nouvelles cartes et de nouvelles stratégies géopolitiques sont en train de se dessiner…

La Chine a condamné l’agression israélienne contre l’Iran, et même si sa position reste une position de principe purement diplomatique, elle n’en demeure pas moins importante et aura des conséquences.
La Russie a exprimé une position similaire, et elle s’active désormais pour chercher une issue afin de contenir la guerre et l’empêcher de s’étendre…

Que s’est-il passé pour que Netanyahu et son cabinet se trompent ainsi dans une bataille aussi cruciale ?

1/ Netanyahu connaît bien la mentalité de Trump avec qui il a travaillé, et sait que ce dernier est pressé de trouver un accord avec l’Iran, même sans concessions majeures sur son programme nucléaire. C’est pourquoi Natanyahou s’est pressé de déclencher une attaque éclair contre l’Iran, visant à éliminer militairement le programme nucléaire iranien, entraînant Trump dans cette aventure en lui faisant croire qu’une frappe éclair et sans conséquences pourrait contraindre les Iraniens à négocier en position de faiblesse.
Israël aurait ainsi rendu le plus grand service aux négociations américano-Iraniennes ..

Mais en vérité, Netanyahu souhaite, au minimum, maintenir l’embargo économique occidental contre l’Iran, car il étouffe le régime et dans le meilleur des cas, Israël cherche à faire tomber ce régime, qui a soutenu l’attaque du 7 octobre, a armé le Hamas et le Jihad islamique, et mène le front du refus contre l’hégémonie régionale israélienne.

2/ Netanyahu a estimé que l’affaiblissement des bras armés de l’Iran dans la région : l’absence de riposte significative de l’Iran après l’assassinat de Hassan Nasrallah, et la destruction de l’essentiel de la puissance du Hezbollah au Liban, ainsi que les frappes multiples contre les Houthis au Yémen restées aussi sans réaction et la sortie de la Syrie de l’influence iranienne après la chute du régime de Bachar al-Assad ,tout cela l’a convaincu que l’Iran était désormais une proie facile, et que les agissements du Mossad en Iran suffisaient à paralyser ses capacités de riposte…
Mais ces calculs étaient loin d’être justes, voire totalement erronés…

Car l’Iran, à travers des années d’économie de guerre , de résistance à l’embargo et à l’hostilité israélo-américaine , elle a développé une doctrine militaire solide : une capacité de dissuasion autonome, qui compte sur ses propres forces indépendamment de ses réseaux dans la région. N’oublions pas que La Republique Islamique , et alors , tout juste sorti de la da Revolution, a tenu tête pendant 8 ans dans la guerre qui l’a opposé à la puissante armée irakienne , et cela malgré le soutien des pays du Golfe et des pays occidentaux à Saddam Hussein.

3/ Netanyahu, sous la pressions de la dislocation de sa majorité, et donc de la dissolution de la Knesset et de la menace qui pèse sur lui de finir en prison pour des affaires de corruption intérieure, a tenté cette aventure militaire contre l’Iran sous prétexte de stopper son programme nucléaire, alors même qu’il dirige un État doté de l’arme nucléaire, et qui refuse toujours de signer le traité de non-prolifération… quelle ironie !

Tels sont, dans l’ensemble, les mobiles apparents et dissimulés de l’aventure israélienne dans cette guerre ouverte contre une puissance régionale du calibre de l’Iran : une guerre sans équivalent dans l’histoire des guerres à répétition d’Israel.
C’est pourquoi nous verrons et entendrons encore bien des surprises…

La scène militaire, politique et diplomatique reste ouverte à tous les scénarios, mais ce qui est certain, c’est que la réalité du monde aujourd’hui, c’est un monde qui n’écoute que la voix de la force, ne respecte que le plus fort, le faible est délaissé et ignoré peu importe la justesse de sa cause…
Tout ce que l’humanité a tenté de construire depuis deux siècles : la primauté du droit, de la justice, de la paix sur la force , n’est finalement qu’une chimère , en filigrane c’est l’image de l’homme primitif et la loi de la jungle qui prévaut:
L’homme reste avide de sang, de mort et de destruction, sous des slogans séduisants…

« Si tu veux connaître la morale d’un homme, observe ses actes en temps de guerre, non ses paroles en temps de paix. » — Socrate

Rabat ,le 16 juin 2025 .

L’enseignement de la médecine doit rester une prérogative régalienne de l’Etat.

Rabat , le 12 juin 2025  5h45

Une amie proviseur d’un lycée de Rabat m’a dit qu’il y a des écoles supérieures privées y compris pour préparer médecine , je pense que l’enseignement de la médecine doit rester une prérogative exclusive de l’Etat ,une prérogatives régalienne : l’enseignement de la médecine ne doit pas être du domaine du privé et donc » commercial  » et tomber dans l’escarcelle du privé : c’est grave : livrer la médecine en pâture aux intérêts privés , c’est aller contre le principe de précaution qui doit prévaloir dans le domaine de la santé publique : en médecine, il faut une sélection sérieuse basée sur le mérite eet non sur l’argent et il faut aussi que l’enseignement purement scientifique des futurs médecins doit être accompagnée d’un enseignent sur l’éthique du métier , car malheureusement il y a des médecins dont les comportements déshonorent ce beau métier, ils déshonorent le serment d’Hippocrate , L’ehique fondamentale de la médecine doit être : » L’Humain d’abord  »

La santé des citoyens doit être entre de bonnes mains , des personnes compétentes à la moralité irréprochable et non des « نصابة  » qui profitent de la vulnérabilité et du malheur des malades pour leur extorquer le maximum d’argent sans pitié : dans les pays démocratiques  » la non assistance à personne en danger  » est punie par le code pénal.

Non la médecine c’est sérieux car la santé publique , mentale et physique , des citoyens est une question de vie ou de mort .

Zine Alabidine Bensrhir.

L’enseignement de La médecine doit rester une prérogative exclusive de l’Etat

Rabat ,le 12 juin 2025.

Une amie proviseur d’un lycée de Rabat m’a dit qu’il y a des écoles supérieures privées y compris pour préparer médecine , je pense que l’enseignement de la médecine doit rester une prérogatives exclusives de l’Etat ,une prérogatives régalienne : l’enseignement de la médecine ne doit pas être du domaine du privé et donc » commercial  » …c’est grave : livrer la médecine en pâture aux intérêts privés , c’est aller contre le principe de précaution qui doit prévaloir : en médecine, il faut une sélection sérieuse basée sur le mérite et que l’enseignement purement scientifique des futurs médecins doit être accompagnée d’un enseignent sur l’éthique du métier , car malheureusement il y a des médecins dont le comportement déshonorent ce beau métier, ils déshonorent le serment d’Hippocrate : la santé des citoyens doit être entre de bonnes mains , des personnes à la morale irréprochable et non des « نصابة  » qui profitent de la vulnérabilité des malades pour leur extorquer le maximum d’argent sans pitié…
Non la médecine c’est sérieux car la santé publique mentale et physique des citoyens est une question de vie ou de mort .

Zine Alabidine BENSRHIR.